[QUÊTE TOTEM] Père Castor... c'est toi ?

N.B : J’ai choisie de jouer Bonsaï plus jeune, car je pense qu’il aurait cherché à découvrir son totem bien avant ses 194 ans, voilà !

L’hiver sera bientôt là et aujourd’hui, après plusieurs journées éprouvantes de boulots, te voilà relativement tranquille et il est donc tant de faire les stocks pour être équipé pour la prochaine période de froid. Tu as dit à certain la veille, que tu irais chercher de la mousse car tu n’en as plus pour tes soins… il se trouve que quelque uns de tes camarades bien trop occupé pour y aller eux, t’ont demandé si tu pouvais aussi leur en ramener. Étant un gentil Mini et toujours prêt à rendre service tu n’as pas pu refuser.
Te voilà donc en route, un sac à dos bien installer sur tes épaules et pleins de pots vides. Appréciant en faire la collection, il ne te fut pas compliqué d’en remplir le sac. Tu aimes l’intégralité de la forêt Bonsaï et le chant de la rivière que tu entends au loin te réjouis.
Le soleil était déjà haut quand tu as rejoins le barrage de bouleaux. Toujours prudent, tu escalades en faisant attention et avance sans trop de soucis sur les branches… presque comme si tu étais habitué à faire cela. L’œil aguerri, tu repères rapidement une crevasse étroite avec de la mousse. Tu t’en approches et sort un premier pot de ton sac, accroupis, tu commence à récolter ce que tu es venus chercher.

Premier pot de plein, tu te redresses pour le ranger dans ton sac et en sortir un vide, mais soudain... tu te sens glisser. « Aaaaah ! » Tu te rattrapes tant bien que mal, t'accrochant à une petite branche, mais pas moins solide pour autant. Soupire longuement après t'êtres remis droit sur tes petits pieds, tu t'assois. Trop pressé d'accomplir ta mission, tu as oublié de mettre les crampons sous tes chaussures pour ne pas glisser. Rapidement tu les installent et te relèves, prêt à retourner à ta tâche, mais c'était sans compter sur un étrange buit... PAF ! Une grimace déforme les traits de ton visage. C'est sûrement un castor... je suis foutu. Voilà la première pensée qui te traverse l'esprit Bonsaï. Restant immobile un moment, tu te décides à te retourner, les mains en l'air en signe de non-culpabilité. Les yeux mi-clos, mais prêt à détaler s'il le faut ; maintenant que t'as tes crampons sous les pieds, aucun moyens que tu glisses.